Marni Jazz Festival
Carte blanche
"On parle peu de Nicolas Fiszman. Pourtant on s’arrache le bassiste belge (...)"
C’est un rendez-vous devenu une tradition : la quinzaine jazz au Marni ouvre la saison et le retour des festivals en salle après l’été. Ce n’est pas pour autant que la formule ne pouvait pas évoluer pour laisser la place à ce que les artistes jazz honorent le mieux : la liberté. Celle d’explorer des territoires sauvages, d’insuffler des notes jazz à de la pop, d’écrire des arrangements classiques, de démultiplier le rythme avec l’électro.
En guise d’amuse bouche, on vous dévoile le concert d’ouverture de cette nouvelle édition du Marni Jazz Festival qui sera unique et sûrement incroyable, divers et festif, wild open.
"Cette proposition du Marni m’offre la possibilité de converser avec trois musiciens dont j’admire le talent et la créativité.
Ziv Ravitz, complice de longue date.
Jozef Dumoulin dont l’univers musical et la singularité m’ont toujours fascinés.
Christophe Panzani, musicien dont la poésie me touche particulièrement.
Partager la scène avec ces trois personnalités, le temps d’une carte blanche est très excitant." Nicolas Fiszman
"Le bassiste belge qu’on s’arrache à l’international"
" Nicolas Fiszman est un garçon extrêmement musicien, tout le monde le sait… très collectif, très investi dans le projet… " Francis Cabrel
"On parle peu de Nicolas Fiszman. Pourtant on s’arrache le bassiste belge : Manu Katché, Zazie, Francis Cabrel, Dominic Miller le veulent" (...)
Nicolas Fizman est un homme de l’ombre. Sa basse électrique est au service des autres, et il aime ça. Il a joué avec Higelin, Bashung, Johnny, Maurane, Joe Zawinul, Trilok Gurtu, Julio Iglesias, Vanessa Paradis, Azanavour, Luca Carboni, Thiéfaine, Angélique Kidjo, Philip Catherine et Charlie Mariano, Khadja Nin, et on en passe beaucoup. Il a aussi réalisé des albums pour Viktor Lazlo, David Linx, Marka, Cheb Mami, Johnny Clegg, Henri Salvador, et on en passe encore.
Le Soir.
Het is een traditie geworden : de jazzfornight in de Marni opent het seizoen en de terugkeer van indoorfestivals na de zomer. Maar dat betekent niet dat de formule niet zou kunnen evolueren om ruimte te maken voor wat jazzartiesten het beste honoreren : vrijheid. De vrijheid om wilde gebieden te verkennen, om pop te infuseren met jazznoten, om klassieke arrangementen te schrijven, om het ritme te vermenigvuldigen met elektro.
Als voorproefje onthullen we het openingsconcert van deze nieuwe editie van het Marni Jazz Festival, dat zeker uniek en ongelooflijk zal zijn, divers en feestelijk, wild open.
"Dit voorstel van de Marni geeft me de kans om te praten met drie muzikanten wiens talent en creativiteit ik bewonder.
Ziv Ravitz, een oude medewerker.
Jozef Dumoulin, wiens muzikale universum en eigenheid me altijd hebben gefascineerd.
Christophe Panzani, een muzikant wiens poëzie me bijzonder raakt.
Met deze drie persoonlijkheden het podium delen voor een carte blanche is heel opwindend". Nicolas Fiszman
It’s become a tradition : the jazz fortnight at the Marni opens the season and the return of indoor festivals after the summer. But that doesn’t mean the formula couldn’t evolve to make room for what jazz artists honour best : freedom. The freedom to explore wild territories, to infuse pop with jazz notes, to write classical arrangements, to multiply the rhythm with electro.
To whet your appetite, we’re unveiling the opening concert of this new edition of the Marni Jazz Festival, which is sure to be unique and incredible, diverse and festive, wild and open.
"This offer from the Marni gives me the chance to converse with three musicians whose talent and creativity I admire.
Ziv Ravitz, a long-time accomplice.
Jozef Dumoulin, whose musical universe and singularity have always fascinated me.
Christophe Panzani, a musician whose poetry particularly moves me.
Sharing the stage with these three personalities for a carte blanche is very exciting". Nicolas Fiszman
