Moi, voyageur de rêve

Comment garder espoir lorsque tout semble perdu ?

Youri de Gussem exprime son admiration envers son "dedo", son grand-père macédonien qui a émigré à l’âge de 18 ans pour obtenir ce qu’il n’aurait jamais pu avoir dans son pays d’origine : la liberté de choisir son propre destin.
Ce récit emmène les spectateurs à travers une série de paysages nocturnes, échappant aux patrouilles frontalières, aux camps... Il témoigne de la détermination de ceux qui aspirent à une vie meilleure, loin de la guerre, de la souffrance et de l’horreur.

"Armé de son fusil son regard a croisée le notre, sa bouches’est relâchée. Il nous a dit : “Sreken put” ce qui voulait dire“Bon voyage”."

"Ce sujet est bien plus proche de nous que nous le pensons : Nous sommes tous, d’une certaine manière, issus de la migration, et c’est, selon moi, ce qui fait la beauté de l’être humain : le partage et l’échange de cultures avec autrui." Youri de Gussem